Description

• Terres damnées
• Souterrains
• Karond Kar
• localites connues

Karond Kar, la “Tour du Désespoir” est une Cité exclusivement Elfe Noire.

Elle a vocation à accueillir tous les Elfes Noirs qui le désirent, que ce soit le temps d’une nuitée ou d’une vie. En son sein, il leur sera offert nourriture et équipement, dans la mesure des moyens disponibles.Les Seigneurs qui habitent la tour ont fait serment de servir les intérêts de leur race, ce qui peut facilement les conduire au mécenat vis-à-vis de leurs congénères.
Toutes les us et coutumes drows sont respectés et célébrés au sein de la Tour.

Karond Kar à une seconde vocation, moins discriminatoire que la première, et dont tous les Adeptiens sont invités à profiter: c’est une prison.
Esclaves, criminels, âmes perdues, prisonniers de guerre, consciences lourdes, masochistes endurcis, ou simples curieux: notre équipe de joyeux animateurs vous attend!

LES TERRES DAMNÉES

On les nomment ainsi car depuis que les Drows y ont élu domicile, il y a de cela plus de vingt ans, elles semblent avoir perdu toute fertilité.

D'abord des marécages infectés de moustiques et d'hommes-arbres, puis une forêt où les farfadets, peuple vassal des Elfes Noirs, étendent leur minuscule empire...
< r/> Enfin une garrigue qui se change rapidement en un désert de roc dont le relief, sans fantaisie, est écrasé par le pas des cohortes d'esclaves qui sont quotidiennement menées à coups de fouet vers la Cité Maudite de Karond Kar.

Les SOUTERRAINS

Les souterrains d'Adept n'ont aucun secret pour les Drows puisqu'ils ne sont que l'antichambre de leur ancienne terre d'exil, là-bas, loin au centre de la terre.

Certains y ont établi leur demeure, loin des rayons meurtriers de Pélor, d'autres y paressent... d'autres encore y conduisent les affaires les plus secrètes et c'est en toute logique que ces souterrains sont le lieu privilégié des rassemblements de la race.

Le rocher que Karond Kar surmonte en est truffé et comme le disent si bien leurs habitants: "Tout s'y passe, mais rien ne s'y sait..."

KAROND KAR

Le Haut Quartier:

C’est une gigantesque tour sur le flan de laquelle, ont été construits, en colimaçon, temples et demeures apparaissant comme une véritable ville suspendue aussi appelée “haut quartier”.
C’est là que logent geoliers et boureaux.
La noblesse est installée dans de somptueux palais d’intérieurs, au sommet du donjon.
On rejoint le haut quartier par le ciel où par un large souterrain dallé qui mène jusqu’à l’interieur de la tour.

Le “Kalith” ou “bas quartier”:

A la base de la tour, le sol a été creusé de divers tunnels, mines de fer et de cuivre, lesquelles avoisinnent des champs de plantes hallucinogènes et médicinales.
Le Kalith, (“la pitié” en language drow”) est donc la cour du pénitencier.
Elle est cerclé de remparts infranchissables où déambulent sans cesse, l’arbalète à la main, de farouches Elfes Noirs.
Le quartier des esclaves n’a qu’une entrée... et pas de sortie.
Des filets de fer, tendus de l’enceinte à la tour, empêchent une quelconque évasion aérienne.

Le Haut Quartier et le Kalith ne communiquent pas et le seul moyen pour les geoliers de rejoindre leurs prisonniers, le temps d’une nuit de supplices par exemple, est d’emprunter les souterrains de services, lesquels sont tenus absoluments secrets aux dépends de la vie de l’esclave imprudent qui viendrait à les découvrir...

Les Localites connues

• Sombre-Forge
• Xin Qu'ellar
• EIOD
• La tour aux corbeaux
• Les maisons

Sombre-Forge

SombreForge... Sa réputation ni son nom ne sont usurpés, parvenus jusqu’au moindres petites ruelles de Karond Kar, et les clients qui se rendent jusqu’en ses noirs ateliers sont autant de roturiers que de fortunés commanditaires - pour la plus grande satisfaction et pour la gloire du Grand Seigneur des Forges, celui qui règne en maître en ces lieux, le créateur inventif, passionné dont rien n'entrave l’ambition et dont le talent est indéniable, l’incernable Cairn Cadarn.

La réserve de cette immense bâtisse contient d’un côté les stocks d’acier et autres métaux en tout genre, destinés à la forge pure et simple ou à la fine orfèvrerie, à la masse ou aux enchantements. De l’autre, rangées dans un ordre méticuleux, se trouvent les pièces d'armes et d'armures, ainsi que toutes les autres créations du Maître Forgeron, toutes plus inventives et farfelues les unes que les autres ; et toutes plus géniales. Ici, une araignée entièrement réalisée en or et en argent, éblouissante de détails. Là, un humanoïde tout fait d’acier et qui paraît aussi vivant que n’importe qui. À son côté vole un corbeau de métal aux yeux de jade et aux griffes d’onyx ; ses ailes sont si parfaitement articulées qu’elles font moins de bruit encore en brassant l’air qu’un oiseau de chair et de sang. De la même manière suivent toutes sortes de choses, objets, créatures tout droit sortis d’un esprit génialement torturé.

Les forges en elles-mêmes sont regroupées sous un immense hangar, à l’abri de la lumière qui déplaît tant au maître des lieux et qui gêne la vue du métal : le forgeron doit parfaitement percevoir et discerner les différentes teintes que prend l’acier lors des changements de température. Le rouge cerise, notamment, doit être saisi au bon moment, cette couleur correspondant exactement à la température à laquelle l'acier doit être trempé. Dans ces noirs hangars donc, les apprentis du maître s’efforcent d’accomplir leur tâche aussi bien qu’ils en sont capables afin de ne pas s’attirer ses foudres et ses coups de fouets si... bien placés. Les farfadets, raclures d’esclaves dévoués, petites bêtes replètes et affairées, transportent les ingrédients nécessaires aux apprentis pour réaliser les commandes de leur sombre seigneur.

Cairn Cadarn lui-même ne passe pas son temps à donner des ordres ; il sait s’occuper comme il le fait depuis tant d’années, couchant sur le parchemin la moindre de ses pensées, réalisant les plans les plus détaillés et forgeant ensuite, donnant forme à des projets ambitieux et parfois même démentiels.
Qu’est-il justement en train de concocter en ce moment même ? Quelle machine, quel bijou ? Quelle... créature ? Il en tout cas il est sûrement dans sa forge ou dans ses appartements personnels qui se situent non loin des ateliers, et où il passe le plus clair de son temps à imaginer pour ensuite créer, encore et encore, inlassablement…

Xin Qu'ellar

Depuis l’éradication de Karond Kar par le cataclysme ayant tout balayé sur son passage, Drazic Mitwale avait prit soin de mettre les plans de la taverne en lieu sûr de façon à pouvoir la reconstruire à l’identique. Il mit tous ces apprentis à l’œuvre. Près de six mois furent nécessaire à la reconstruction. Une fois celle-ci terminée, les prêtres vinrent la bénir de la façon des elfes noirs un soir de pleine lune. Ils jetèrent sur elle une poudre verdâtre qui s’intégra directement sur les parois de celle-ci puis commencèrent des incantations. C’est alors qu’elle se mit à scintiller sous le rayonnement de notre déesse Hécate. Les murs extérieurs se recouvraient lentement d’une mousse qui se changeait petit à petit en moisissure.

Le bâtiment était un ensemble de trois pièces rondes dont chacune des pièces étaient surplombées d’une cheminé. L’une d’elles était beaucoup plus élevée que les autres. Cette salle servait en réalité de fumoir de Xindarl. Ses murs étaient recouverts par la suie de cette fumée âcre. Des ustensiles étaient disposés contre les murs, tenus par des os de mains d’elfe reconstituées et insérées de chaque cotés de la cheminé.

La plus grande des salles était le lieu de beuverie des elfes noirs où était disposé des tables d’ébènes autour d’une cheminée centrale en marbre pourpre. Deux statues à l’effigie de Loki et d’Hécate l’encadrent de leur grandeur. Au fond de la pièce, une table en forme de ‘T’ trône étant réservée pour les hauts dignitaires de KK. A l’opposé se trouve le bar constitué de métaux précieux d’une couleur obscure.

La dernière salle étant les cuisines de Xin Qu Ellar où seul le Maître tavernier et ses apprentis peuvent y pénétrer. De cette salle, Drazic a accès à sa cave par un passage que lui seul connaît. Pour y pénétrer, il fait sortir ces apprentis de la cuisine sauf Marwall, le plus fidèle de ces apprentis et ferme la porte à double tour.

El’ Inssring Obok l’Drowoirdise

Ce immense bâtiment a été conçu dans un but bien précis, celui de faire rencontrer les plus hauts dignitaires de Karond Kar et leur faire faire profiter les mille et un plaisir de la chair. Il se au centre de la ville sombre. On y accède par un escalier en marbre rouge sang et arrive devant une grande porte en ébène où est inscrit le nom de ce haut lieu : EIOD. Il est gardé par deux gigantesques statues représentant la Déesse Hécate et le Dieu Loki. La déesse Hécate est représentée sous une forme humaine démontrant sa beauté diabolique. Elle porte la lune entre ses main. Loki est aussi représenté, tenant lui un brasier, sous une forme humaine marquant sa perfidie. Vous jugeant de leur hauteur, laisseront t’ils entrer le visiteur que vous êtes...

L’EIOD est constituée de quatre salles principales qui ont chacune leur importance :

- L’tullus: est une grande salle soutenue par d’énormes piliers d’environ 10 mètres de haut d’une couleur ocre. Le murs de cette salle sont décorés de tableaux représentant les sengers de la citée noire. Ils sont peints par le sang des elfes capturés. Pour chaque tableau, 13 elfes ont été saignés pour récupérer les 6 litres de sang par corps. Les nuances ont été réalisées par l’ajout de substances telles que leurs os, leur cervelle,...etc, séché, broyé en fine poudre et mélangé au sang. Tout au bout de cette salle se trouve une porte sur laquelle est insérée une grande plaque en métal. On peut y voir un crâne, la bouche grande ouverte qui a été forgé par le Maître forgeron, Cairn Cadarn. La poigné de cette porte se trouve dans la bouche de cette tête.

La Tour aux corbeaux

La tour aux corbeaux, siège des expériences aussi secrètes que dangereuses de Falawis.
Pourtant, à plus de dix mètres de hauteur on peut distinguer un balcon étroit accolé à une fenètre. Le dessous est en forme d'arc incurvé, ce qui découragerait n'importe quel grimpeur d'essayer de s'y accrocher. La fenêtre, elle, est toujours fermée durant le jour, ne s'ouvrant qu'à la nuit tombée quand la lune apparait dans le ciel. On peut alors y distinguer une silhouette à la pâleur de nacre qui y passe de longues heures, quasi-immobile.

Zhah Qu'ellar, les maisons

Streeassin :

Une maison a l'architecture complexe mais modeste par sa taille se trouvait pres de la bibliotheque.
Ses fenêtres étaient munies de barreaux barbelés sur lesquels suintait une liquide épais et blanchatre.
La porte étaient aussi robuste que complexe, noire mais simple a l'instar de la maison qui n'arobrait aucune decoration exterieur
Ceux qui furent invités a y penetrer decouvrir un long couloir dont les murs soutenaient des rateliers d'armes et de nombreux serviteurs de l'elfe noire montaient la garde.
La maison se separait ensuite en deux parties, l'étage, reservé aux serviteurs de Streeassin qu'il fallait traverser pour aboutir a un escalier. Il menait a ses apartements personnels ainsi qu'a une tres vaste salle qui abritait autant d'étagères que possibles. les compartiments incurvés vers l'interieur abritaient des parchemins en peau d'elfes.chaque compartiment portait les noms d'un elfe noire de la ligue, voir quelqu'un uns exterieur a la ligue, tel Edonil. certains compartiments restaient vides.
la piece comportait également un secretaire entouré des parchemins vierges.
De nombreuses niches aparraissaient un peu partout , et abritaient des bougies dans un renfocement tres étroit , évitant ainsi que ces dernières ne chutent inopinement.

Sa chambre a couché etait on en peu plus modeste, le mobilier etait uniquement fonctionnel. Il se resumait presque a l'énorme lit a baldaquin qui lui seul dans toute la batisse denotait un certain luxe. Un petit meuble abritait de nombreuses liqueurs, meme si Streeassin ne consome que tres peu d'alcool.

Katell :

Katell passait ses journées dans une demeure lugubre près des temples...
Un long chemin pavé y mené ,bordé de part et d’autres de roses noires. Une double porte se dressait maintenant en son bout. Porte renforcée et gardée par 2 apprentis.

Une fois entré, un grand couloir s’offre a vous. Au mur de pierres des chandeliers sont allumés pour éclairer chacun de vos pas. Trois portes se dressent a sa fin. L’une donne dans les appartements de la Drow. Ils se composent de deux pièces, dont un salon où une cheminée au flammes noircies par la haine de son hotesse tamise l’atmosphère. Au près de cette atre, un sofa est posé sur un tapis en peau d’elfes. Non loin une bibliothèque dottée de parchemin sur la magie, et la médecine. Près de sa secrétaire, un dragon se nommant Lune sommeille, il est le fidèle compagnon de Katell.

Un rideau de pourpre (il fut baigné dans le sang d’elfes torturés par la femmelle)est attaché devant une autre porte qui donne cette fois ci dans la chambre de Katell. Dedans une couche somptueuse, et dans un coin une sorte d’autel dédié à Mystara. Dessus une statue d’ivoire trone. Des bougies dont émane l’odeur du sang d’elfe brule en ce lieu.

La deuxième porte du couloir donne sur un étage, lieu des cellules de ses nombreux apprentis.

Et la dernière sur une salle de torture. Dans cette salle se trouve une cage où une elfe de cinq ans survit. Soleil est le jouet favori de la femelle, sur sa joue droite une marque se dessine : les initiales de la prétresseet sur l'autre une rose noire (emblène de cette drow). Beaucoup d’objets de tortures sont attaché sur les murs... des cranes également ...

Ryan :

Ryan ne passait pas souvent de temps dans sa maison car il partait tout le temps chercher des animaux, mais sa maison se situait pres de har'ol l'thin, la grande etable de Ryan.

Sa maison n'etait pas tres grande mais suffisamment digne pour lui afin qu'il puisse s'y reposer.
La porte etait noir avec de la pourriture dessus et sur les murs, on pouvait voir quelques taches de sang d'elfes.

Les rares personnes qui ont pu entrer avaient deja peur des Deux statues de dragons postees en entrer. On peut continuer dans un couloir ou on ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Sur les cotes, etaient disposees quelques dizaine de portes ressemblant toute a la porte d'entree et d'ou l'on entendait beaucoup de cris d'elfes en train d 'etre tortures par les animaux eleves par Ryan.
Au bout de ce couloir une porte plus grande que les autres etait dispose.

Une fois ouverte, on pouvait voir un lit de ce qui a de plus deconfortable et un bureau garde par deux chiens de garde enrages, des meubles remplis de parchemins contenant les informations de chacun des animaux et une cage avec un Corbeau plein de sang sur le bec.

Les murs de la facade etaient delabres avec un peu de pourriture, tout comme la grande porte noire du cachot qu'on pouvait voir. En grattant la pourriture sur la poignet une marque "Cycle -5624 Avant Hecate." Sur un des murs un panneau avec ecrit dessus, "Interdit aux Elfes sous peine de nous tenir compagnie longtemps", avec le dessin grossier d'un elfe en train d'etre torture en dessous et un petit piquet avec la tete de ce meme elfe.
A droite de la porte un panneau : "Malvenue Chez Ryan, Dompteur".

Kenshin

La maison de kenshin etait sans motif apparant, elle avait plus l'air d'une maison hanté qu'autre chose. La porte etait noire et risquée de tomber a chaque seconde, les fenétres etaient brisées, les murs etaient couverts de moisisure et fisurés, le toit etait a peu pres normal sauf les quelque trous sur le centre. L'interieur n'etait pas mieux, les murs etaient dans le meme etat qu'a l'exterieur et il n'y avait aucun meuble a part un coffre et un lit.

Kenshin se demande encore comment il a fait pour dormir dedans sans que cela ne s'ecroule sur lui mais il s'en moque finalement. Il n'y aller presque plus. Il preferait de loin dormir au sommet d'une tour de garde en regardant le desert que chez lui en voyant les murs imposant d'EN.

Darkheaven

Quelque part dans les méandres des souterrains se trouve une galerie lugubre, glauque et peu fréquentée par les drows. La roche y est ocre, les parois tranchantes comme des rasoirs et le sol parsemé de petits pics de pierre pouvant transperser l'écaille d'un dragon. Quelques squelettes difformes y sont encore coincés, les os brises ou se resserrant sur un des pics. Hormis ces petits pics, le sol a un aspect, une texture étrange. La couleur brune du sol, dont on ne distinque que les os blancs parmis les ténébres de la galerie, semble en réalité être du sang à l'état de coagulation ou ayant complétement séché. Il semble même que par endroit le sang y soit encore en ébullition.

Toujours est-il que les quelques courageux, ou hérétiques selon les dires de bien des drows, qui se sont enfouis un peu plus dans les ténébres rouges n'y auront vu que de longues galeries menant toutes à une seule grille de métal rouillé et souillé par le sang, à laquelle sont accrochés quelques lambeaux de chair humaine, elfe, naine ou même drow. Sur toute la longueur des galeries, aucune torche pour apporter un semblant de lumiére. La pénombre la plus compléte, l'atmosphére la plus oppressante. Un bruit, un souffle. Tout cela méne à cette grille.

Personne ne sait ce qui se trouvent dérriére, la seule chose qui soit certaine, c'est qu'un drow vêtu de rouge s'y faufile réguliérement, disparaissant telle une ombre. Il trainerait sans cesse dans les souterrains, les connaissant mieux que beaucoup. On dit qu'il se faufile dérriére cette grille pour s'y reposer, s'y ressourcer. Au milieu des carcasses fraichement démembrées ou des ossements des plus anciens, au milieu des murs rouges sang et de la roche qui saigne, ce drow se tapit dans l'ombre...